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Islamiyalhamdoulilah

23 décembre 2013

la janaza de sheikh uteymine rahimahoulah

Janaza de cheikh otheimine

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23 décembre 2013

Qui est sheikh al albani rahimahoulah?

Son nom et sa généalogie

Abou Abd Ar-Rahmân Mouhammad Nâsir Ad-Dîn Al-Albâni
Il est surnommé "Le lion de la Sounna" [Asad as Sounna].

Son père
Son père al Haj Nouh fut diplômé des instituts religieux de la capitale Othomane " Istanbul ", puis il est revenu chez lui pour enseigner et éduquer les gens.


 Sa naissance (1332 H)

Il est né en 1914 dans la ville de Ouchqou Dara qui était à l'époque la capitale d'Albanie, dans une famille pauvre mais pratiquante et connue pour les connaissances religieuses.


 Son émigration vers Damas

Lorsque le roi Ahmed Zogho prit le pouvoir en Albanie, et décida de rendre le pays laïque imitant l'occident dans tous les domaines de la vie, le père prit peur et pressentit que le mal s'accroîtra. Alors il prit la décision d'émigrer en Syrie (Cham) pour sauvegarder sa religion et par crainte pour ses enfants des troubles. Son choix fut la ville de Damas dont il avait auparavant prit connaissance lors de son voyage pour le pèlerinage.


 Ses études primaires

Al-Albâni a terminé ses études primaires dans l'école de "Jam'yat al Is'af al Kheiry" à Damas avec un niveau élevé.


 L'enseignement à la maison

Du fait de la mauvaise idée que se faisait son père sur les écoles publiques du point de vue religieux, il décida de ne plus le laisser aller à l'école, et lui prépara un programme structuré. De ce programme, il apprit le Coran avec le Tajwid, la grammaire et le Fiqh d'après le Madh-hab Hanafi. De même que des amis à son père ont participé à son enseignement des sciences religieuses.

Il étudia chez le cheikh Sa'id al Bourhany le livre Maraqi Alfalah dans le Fiqh Hanafi, le livre Choudhour adh-Dhahab dans la grammaire, et certains livres contemporains dans l'éloquence. Il assistait aux assemblées du grand Savant le cheikh Mouhammad Bahjat al Baitar -que Dieu lui fasse miséricorde-avec des professeurs de al Majma' al 'Ilmi à Damas parmi lesquels 'Izzoud-dine at-Tannoukhy -que Dieu lui fasse miséricorde-, ils lisaient le livre Al Hamassa de Abou Tamam.

Il apprit de son père la réparation des montres jusqu'à devenir un des meilleurs réparateurs de la ville, et il commença à gagner sa vie de ce métier.


 Vers la science du Hadith et l'importance qu'il lui donna

Al-Albâni se dirigea vers la science du Hadith alors qu'il n'avait que 20 ans à peu près, attiré par les articles qui paraissaient dans la revue "al Manar" publiée par le cheikh Mouhammad Rachid Rida -que Dieu lui fasse miséricorde-.

Le premier travail qu'il entreprit dans le Hadith fut de recopier le livre : Al Moughni 'an haml al asfar fil asfar fi takhrij ma fil ihya minal akhbar du Hafidh al 'Iraqy -que Dieu lui fasse miséricorde- avec des annotations.

Ceci fut pour lui le début d'un grand bien car il avait de plus en plus d'envie pour la science du Hadith jusqu'à que son père désapprouva sa préoccupation pour cette science et lui disait : " La science du Hadith est réservée à ceux qui font faillite !".

Malgré tout cela, l'amour du cheikh pour le Hadith du Messager de Dieu -prières et bénédiction de Dieu sur lui-, et la distinction de l'authentique et du faible ne faisaient qu'augmenter. Et puisqu'il vivait sous la charge de son père qui avait à sa charge une grande famille, il n'avait pas les moyens d'acheter ce qu'il lui fallait comme livres qu'il ne trouvait pas dans la bibliothèque de son père qui était pleine de livres suivant le rite Hanafite.

C'est pour cela qu'il se dirigea vers la grande bibliothèque Adhahirya. De même certaines librairies commerciales lui prêtaient des livres comme la librairie de Salim al Qouçaibany -que Dieu lui fasse miséricorde- et la librairie arabe Hachémite (al Maktaba al 'arabya al hachimya) de 'Oubeid Ikhwan.

Son intérêt pour le Hadith et ses sciences est devenu sa grande préoccupation, jusqu'à ce qu'il lui arrivait de fermer sa boutique pour aller à la librairie Adhahirya et il y restait douze heures sans se lasser de la lecture, des annotations et de la vérification sauf pour les Salâts pour lesquelles il s'arrêtait. Et souvent il mangeait simplement dans la bibliothèque. Puis la direction de la bibliothèque décida de lui réserver une pièce pour lui seul, pour qu'il puisse faire ses recherches utiles dans la science, et aussi de lui donner la clé de la bibliothèque. Et là, pendant des années, le cheikh venait tôt le matin avant les employés qui eux retournaient chez eux à l'heure du Dhohr sans revenir, alors que lui, y restait ce que Dieu veuille qu'il reste, et il lui arrivait de ne repartir qu'après avoir prié la Salât du 'Icha.

Tous ceux qui le voyaient à l'époque dans la bibliothèque, savaient le degré de ses efforts et sa volonté de ne pas perdre de temps, jusqu'à que certains lui en voulaient car il était trop dans la lecture et l'écriture lorsqu'ils lui rendaient visite à la bibliothèque. Naturellement le cheikh était excusable car il ne voulait pas perdre son temps avec les longues salutations et bienvenues, il répondait aux questions qui lui étaient posées, tout en regardant dans le livre et sans relever son regard vers celui qui pose la question avec le strict minimum de mots suffisants.


 Son début dans le salafisme

Il commença à contredire le Madh-hab Hanafi dans lequel il grandit. Son père s'opposait à lui durement, alors le cheikh lui disait qu'il n'était pas permis à un musulman de délaisser la pratique des Hadiths du Messager de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) alors qu'ils sont authentiques et que certains Imams les ont mis en pratique quelque soit celui qui les contredit, tout en lui expliquant aussi que ceci est la voie de l'Imam Abou Hanifa ainsi que les autres imams, que Dieu leur soit clément.

Et c'est comme ça que les discussions ont commencé entre le cheikh Al-Albâni et les autres savants. Il subit une grande opposition de la part de beaucoup de cheikhs fidèles à leurs Madh-hab et des cheikhs Soufis, et surtout des gens de la même origine que lui (la communauté albanaise de Damas) qui poussaient la masse contre lui en prétendant qu'il était un Wahhabite égaré et ils prévenaient les gens contre lui, alors qu'au même moment des savants connus de Damas étaient d'accord avec lui et l'ont encouragé à continuer dans son prêche. Parmi eux, il y avait Bahjat Albaitar, 'Abdoul Fattah al Imam, Tawfiq al Barzah et bien d'autres, que Dieu leur soit clément. Le Cheikh Al-Albâni n'en avait que faire des paroles des gens et de leur opposition, mais bien au contraire ceci ne faisait que le pousser à persister sur sa voie.

Le cheikh prit en main l'étendard du Tawhid et de la Sounna, et visita beaucoup de savants de Damas et il y a eu entre lui et eux beaucoup de discussions sur des questions du Tawhid, l'attachement fanatique au Madh-hab et les innovations, et ceci, en compagnie du cheikh 'Abdoul Fattah al Imam (رحمه الله) qui était à l'époque le président de l'association des jeunes musulmans.


 Son diplôme du hadith

Il a obtenu son ijaza de hadith de Mouhammad Raghib Attabbakh, l'historien de Halab. A cette époque, le cheikh Al-Albâni était encore tout jeune, mais le cheikh at-Tabbakh était surpris de ce qu'il entendait sur lui au sujet de sa grande volonté dans le prêche au Livre et à la Sounnah, et son étude des sciences du Hadith.


 Les cours dispensés

Le cheikh -que Dieu lui fasse miséricorde- donnait deux cours par semaine auxquels participaient les étudiants en religion et quelques professeurs d'université. Parmi les livres qu'il a enseignés, il y a :

1- Fath al Majid Charh Kitab at Tawhid (commentaire du livre de l'unicité) de 'Abdour-Rahmane Ibn Hassan Ibn Mouhammad Ibn 'Abdil Wahhab.

2- Ar Rawda an Nadya Charh ad Dourar al Bahya.

3- Minhaj al Islam fil Houkm (la voie de l'islam dans la façon de gouverner) de Mouhammad Assad.

4- Ouçoul al Fiqh (les fondements de la jurisprudence) de 'Abdoul Wahhab Khallaf.

5- Mouçtalah at Tarikh (la science de l'histoire) de Assad Roustoum.

6- Fiqh as Sounnah (la compréhension de la Sounnah) de Sayid Sabiq

7- Al Ba'ith al Hathith Charh Ikhtiçar 'Ouloum al Hadith d'ibn Kathir de Ahmad Chakir.

8- At Targhib wa at Tarhib de al Hafidh al Moundhiri.

19- Ryad as Salihin (Les jardins des vertueux) de an Nawawy.

10- Al Ilmam fa Ahadith al Ahkam d'ibn Daqiq al 'Id.

Mais il n'a pas pu terminer ces deux derniers livres à cause de certains cheikhs qui se sont plaints de lui auprès des autorités et il fut emprisonné à peu près six mois. Il avait déjà connu la prison avant cela en 1967 où il y resta un mois.

La faculté des études religieuses de Damas le choisit pour qu'il vérifie qui a rapporté les Hadiths dans le domaine du commerce, concernant l'encyclopédie du Fiqh islamique que l'université voulait publier (en 1955).

Il fut choisit comme Membre dans le bureau du Hadith, qui fut créé à l'époque de l'union entre l'Egypte et la Syrie, pour relire et superviser la publication des livres de la Sounnah.

L'université as-Salafya de Banars en Inde lui demanda de venir en Inde pour être le Cheikh du Hadith et il s'excusa de son refus car il était difficile pour lui d'emmener toute sa famille à cause de la guerre qui opposait l'Inde au Pakistan à cette époque.


 Le départ vers la Jordanie

Le cheikh avait des voyages mensuels organisés, au début c'était pour une semaine par mois, puis ce fut trois jours par mois. Le cheikh allait dans les grandes villes comme Halab, Idlab, Alladhiqya, Salmya, Homs, Hama, Arriqah puis des voyages vers la Jordanie avant qu'il ne décide d'y résider dernièrement.


 L'enseignement à l'université Islamique de Médine

Le cheikh devint célèbre, les savants retournaient à lui, les responsables des écoles de science reconnaissaient son degré. Ce qui poussa les responsables de l'université islamique (de Médine) lors de sa fondation, et à leur tête le Mouhammad Ibn Ibrahim Âl cheikh -que Dieu lui fasse miséricorde-, de choisir le cheikh Al-Albâni pour le poste de professeur du Hadith, de ses sciences et de sa compréhension à l'université. Le cheikh y resta trois ans, de l'année 1381h jusqu'à la fin de l'année 1383h, en enseignant le Hadith et ses sciences. Et à cette époque, il était membre du Conseil de l'université.


 Le retour à Damas

Le cheikh est retourné à Damas avec encore une plus grande volonté, et il rejoignit sa pièce qui lui était réservée dans la librairie Adhahirya, et il se remit à étudier et écrire, et il consacra tout son temps à cela. Il délaissa sa boutique (pour réparer les montres) à un de ses frères, puis à son fils après la mort de son frère -que Dieu lui fasse miséricorde-. Son temps entièrement réservé à l'étude et l'écriture lui permit de présenter au monde islamique encore plus d'ouvrages utiles et de vérifications.


 Ses livres

'Acim al Qar-youty en cita 114. Quant à son élève 'Ali Hassan al Halabi, il en cite 218 dans son livre Ma'a cheikhina Naçir as-Sounna h wa d-Din.

- Les chaines de hadith authentique

Elle se compose de 6 numéros qui sont publiés en 8 volumes (car le 1er et le 6ème sont en deux volumes chacun) Le 7ème est en cours d'impression et le 8ième n'a pas été terminé. Dans chaque numéro on y trouve 500 Hadiths.

al Albani (رحمه الله) a dit : "Et en proposant ces deux travaux nous aurons montré la maladie et donné le remède par la volonté de Dieu. Dans cet ouvrage, nous montrons l'authenticité des Hadiths et ceci par la voie des savants spécialistes du Hadith dans le jugement sur les narrateurs et les textes (science de la technique du Hadith). Parfois nous parlons de la compréhension de certains Hadiths ou des mots précis que se soit au sens linguistique ou au sens religieux ainsi que la morale et les règles qui en découlent".

- Takhrij ahadith al bouyou' fi mawsou'ati al fiqh al islami (Recherche sur ceux qui ont rapporté les Hadiths concernant le commerce dans la jurisprudence islamique).

- Sahih Sounan abi Dawoud

- Les sounanes négligées de Ramadan

- L'avenir est pour l'Islam

...

La mort de Ibn Bâz (رحمه الله)

'Ali Hassan al-Halabi (رحمه الله) a dit : "Lorsque je lui ai annoncé le décès de cheikh Ibn Baz -que Dieu lui fasse miséricorde- il ne put contenir le pleur et versa de fortes larmes et prononça de bonnes paroles sur lui".


 Sa mort (1420 H)

Le 22 Joumada al Akhir 1420.


 Ses mérites

Ibn bâz (رحمه الله) a dit : "Je n'ai pas vu à notre époque un savant dans le Hadith pareil à cheikh Mouhammad al Albani". Et lorsqu'il fut interrogé sur le Hadith : "Dieu Elevé soit-Il envoie à cette communauté, à la tête de chaque siècle, des gens qui lui revivifient sa religion"; Il dit : "Le cheikh Mouhammad Naciroud-dine Al-Albâni est à mon avis le revificateur de ce siècle et Dieu est plus savant".

Ibn 'Outhaymin (رحمه الله) a dit : "Ce que j'ai appris de cheikh après les rencontres que nous avons pu avoir, et elles furent peu nombreuses, c'est qu'il était scrupuleux quant à la pratique de la Sounnah, au combat de l'innovation, que ce soit dans la croyance ou dans les actes. La lecture de ses ouvrages confirmèrent ce que j'en savais mais en plus ils révélaient sa science profonde dans le domaine du Hadith, que ce soit dans la narration ou dans la compréhension du Hadith, et que Dieu avait aidé par ses écrits beaucoup de gens, que ce soit dans la science ou dans le Minhaj et l'orientation vers la science du Hadith. Et ceci est un grand bienfait pour les musulmans et la louange est à Dieu....»

Le professeur Ahmad Madh-har Al 'Adhama, président de l'association at-Tamaddou al Islami à Damas, qui fut impressionné de sa science et qui lui permis d'écrire dans sa revue beaucoup d'articles sans faire attention aux dires de beaucoup d'opposants. Il écrit sur lui : "Damas connut son plus grand Mouhaddith, le grand savant Badroud-dine al Housseiny ; et lorsqu'il mourût, la ville n'avait plus d'imam dans les sciences du Hadith vers qui les gens retourneraient, si ce n'est un jeune Arnaouty qui a grandit dans la science et la piété, qui est le professeur Mouhammad Naciroud-dine (Al-Albâni) connu parmi les jeunes pour son travail dans le Hadith et ses sciences, qui a réunit les jeunes autour de lui et fut remarqué. Il a pu avoir des élèves qui apprennent de lui du fait de sa langue arabe claire, de la douceur de ses paroles et ses bonnes discussions."

22 décembre 2013

Qui est sheikh uteymine rahimahoulah ?

 

Son nom est abou 'Abdillah Mouhammad ibn Salih ibn Mouhammad ibn 'Outhaymine al Wahaybi at-Tamimi.

Il est né dans la ville de ‘Ounayza le 27 du mois du Ramadhan béni de l’année 1347 H (1926 G). 

Il a appris et étudié le Saint Coran de son grand-père maternel, le cheikh ‘Abdour-Rahmane ibn Souleyman Al Dâmigh -qu’Allah lui fasse miséricorde-. Ensuite il est parti à la recherche de la science, a appris l’art de l’écriture et du calcul et d’autres matières.

 

 

Cheikh ‘Abdour-Rahmane as-Sa’di -qu’Allah lui fasse miséricorde- avait confié à deux de ses étudiants la responsabilité d’enseigner aux enfants : le premier est le cheikh ‘Ali as-Sâlihi et le deuxième le cheikh Mouhammad ibn ‘Abdil’Aziz al Moutawoui’-qu’Allah leur fasse miséricorde-. Il étudia chez le second le résumé de al ‘Aqidah al Wassitiya du Cheikh ‘Abdour-Rahmane as-Sa’di, et Minahij as-Salihin dans le Fiqh toujours du cheikh as-Sa’di et al Ajroumiyah et al alfiya. 

Il a étudié chez cheikh ‘Abdour-Rahmane ibn ‘Ali ibn ‘Aoudan la science de l’héritage et le Fiqh. 

Il apprit avec Cheikh ‘Abdour-Rahmane ibn Naçir as-Sa’di, celui qui est considéré comme son premier professeur, il apprit de lui le Tawhid, le Tafsir, le Hadith, le Fiqh, les bases du Fiqh, la science de l’héritage, les sciences du Hadith, la grammaire et la conjugaison. 

Il a étudié chez le cheikh ‘Abdoul’Aziz ibn ‘Abdillah ibn Bâz -qu’Allah lui fasse miséricorde- qui est considéré comme son deuxième professeur, en commençant par Sahih al Bukhârî, ainsi que quelques ouvrages de cheikh al Islam ibn Taymiya ainsi que quelques livres de Fiqh.

En 1371 H,  il a pris place pour enseigner à la mosquée et lorsque les instituts scientifiques de Riyad ont ouvert en l’an 1372 H, il s’y est inscrit.

Après deux années, il en est sorti et à été nommé professeur à l’institut scientifique de ‘Ounayza tout en continuant d’étudier par correspondance à la faculté de Chari’a ainsi que l’apprentissage de la science auprès de cheikh ‘Abdour-Rahmane as-Sa’di. 

 Lorsque son Cheikh ‘Abdour-Rahmane as-Sa’di -qu’Allah lui fasse miséricorde- est mort, on lui confia l’Imamat général de ‘Ounayza, ainsi que l’enseignement dans la bibliothèque Nationale de ‘Ounayza. Ensuite, il est parti enseigner à la faculté de Chari’a et Oussoul ad-Dine, annexe de l’université islamique Mouhammad ibn Sa’oud à Qassim, Tout en étant membre du conseil des grands savants du Royaume d’Arabie Saoudite. Le cheikh a fait un grand effort dans le prêche à Allah et dans les recommandations aux prêcheurs de tout lieu. 

Et il est digne de mentionner que son excellence le cheikh Mouhammad ibn Ibrâhim -qu’Allah lui fasse miséricorde- l’a sollicité et a insisté pour qu’il prenne le poste de juge. Mais le cheikh (al ‘Outhaymine -qu’Allah lui fasse miséricorde-)  a refusé.

Cheikh Al ‘Outhaymine -qu’Allah Le Très- Haut lui fasse miséricorde- est l’auteur de plus de 40 ouvrages  (livres et Rissala)

 

Cheikh Al ‘Outhaymine a délivré des cours dans le Haram

 

Pendant plus de 35 ans, Cheikh Mouhammad ibn Salih al ‘Outhaymine avait le rôle de professeur donnant des cours à l'intérieur du Haram sacré à Makkah.  
Il avait une place permanente au deuxième étage de la mosquée sacrée où beaucoup de gens écoutaient son exposition érudite.

Il a donné des cours sur la ‘Aqidah (Croyance), le Fiqh (jurisprudence), le Hadith et le Tafsir. Il a aussi commenté des ouvrages écrits par de grands savants tel que ibn Taymiya, ibnoul Qayim et d'autres.

De la même façon, il faisait des cours saisonniers pendant le Ramadhan et à la période du Hajj.

Des dizaines de milliers de cassettes audio de ses conférences ont été enregistrées et sont disponibles au public.

Son dernier cours public a été délivré une nuit avant la célébration de ‘Aîd al Fitr.

 

Cheikh al ‘Outhaymine  pendant ses derniers jours

 

En dépit de son état de santé, il a continué à donner ses cours habituels dans les différentes villes et places.

Cheikh al ‘Outhaymine est mort à l’âge de 74 ans.

Il était un modèle de droiture, d’honnêteté, de savant bien informé,  d’engagement et de service désintéressé pour la cause d'Allah. Un grand nombre de musulmans (plus de 500 000 personnes) incluant savants et étudiants ont assisté à la Salât Janaza qui a été faite à la mosquée sacrée à Makkah après la prière du ’Asr, jeudi.

La mort de l'Imam, du Cheikh, al ‘Allâmah, Mouhammad ibn Sâlih al ‘Outhaymine, est survenue le 15 Chawal 1421 H (2000 G).

 

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